Les jeudi 11 et vendredi 12 mars, les élèves de quatrième sont allés à Mendi Zolan à Hendaye, voir la dernière création de la Compagnie AXUT : AMUA, une pièce de théâtre qui sera par la suite travaillée en classe.

Synopsis : "Ana invite deux anciens amours de sa jeunesse dans une cabane à Irati. Un dernier week-end au nom de ce qu'ils étaient et de ce qu'ils avaient rêvé. Aitor et Txolarre iront oui, mais ni l'un ni l'autre ne sait qu'ils seront trois. Ils s'aiment beaucoup mais il leur est difficile de partager ce qui leur est de plus intime. Mettre de côté l'exclusivité, le romantisme, l'ego, la propriété, la coutume, la culture, l'éducation, même pour un seul week-end provoquera des conflits internes. Au nom de l'amour, jusqu'où pouvons-nous aller ?

Personnages : Ana (Maite Larburu), Aitor (Manex Fuchs) eta Txolarre (Ximun Fuchs)

Nous remercions la Communauté Pays Basque pour leur aide.

Suite au stage d'observation en entreprise effectué juste après les vacances, les élèves de 3ème ont passé leur oral de stage, mardi 9 mars en dernière heure, à tour de rôle devant un professeur et quelques élèves de 6ème, 5ème et de 4ème (un seul niveau par classe).

Chaque élève devait être apte à présenter son stage et le métier approprié, en prenant compte certains critères : expression corporelle adaptée, expression orale correcte, cohérence et cohésion de l'expression, utilisation précise et correcte de la langue....

Les élèves ont été répartis en 19 groupes, et chaque enseignant "jury" analysait 3 élèves de 3ème.

D'une manière générale, les élèves ont bien approfondi leur dossier mémoire et ont été capables de le présenter aussi bien devant un jury qu'un public.

Suite aux différents conseils donnés sur place, si les élèves le souhaitent, ce rapport de stage pourra être choisi et présenté pour l'oral de brevet.

A l'occasion du 8 mars, une exposition sur les femmes scientifiques est organisée au CDI du collège.

L'objectif du projet outre la connaissance des femmes scientifiques de l'histoire est de découvrir une expérience scientifique propre à leur découverte.

D'une part, comme dans un musée, les collégiens ont accès à des ressources multimédia grâce au QR code accompagnant les affiches. Ainsi, ils peuvent entreprendre une étude de l'exposition en examinant le contenu et l'identité graphique des posters.

D'autre part, l'émission de télévision "Teknopolis" a été un support intéressant pour que les élèves prennent conscience de la modeste représentation des femmes dans les hautes études scientifiques. Aujourd'hui encore, peu de femmes sont lauréates au prix Nobel.

En effet, quand tous les genres sont pris en considération, les recherches s'améliorent en qualité. Enfin, malheureusement, les femmes ne sont pas encore assez prises en compte dans les recherches. Ainsi, plusieurs objets du quotidien sont adaptés aux normes masculines. Cette invisibilisation s'étend jusqu'aux dispositifs de sécurité des voitures.

Après les vacances, les élèves de troisième du collège ont effectué leur stage en entreprise du mardi 23 au vendredi 26 février. Ils ont travaillé dans différents corps de métier comme : la maçonnerie, en crèche, l'enseignement, en pharmacie, dans l'architecture, en maraîchage, en boulangerie - pâtisserie, en menuiserie, en agricole, en esthétique, dans les Mairies, et bien d'autres...

Les objectifs de ce stage sont :

- faire connaître aux élèves le monde du travail sur le terrain

- découvrir les caractéristiques générales d'une entreprise : organisation, activité

- découvrir les différents acteurs de l'entreprise

- si possible, aider l'élève à choisir sa voie professionnelle

Aussi, chaque élève devra remplir un dossier qu'il présentera à l'oral de stage du mardi 9 mars, devant une équipe d'enseignants. Ce travail ne sera pas noté mais les enseignants lui donneront des conseils, s'il veut présenter cet exposé pour l'oral du brevet, fin mai.

Le collège remercie vivement toutes les entreprises qui ont accueilli nos élèves.

Juste avant les vacances, les 4 et 5 février, les élèves de troisième ont passé leur tout premier examen : le brevet blanc.

Jeudi 4 février, la matinée était consacrée à 4 heures de français : compréhension de texte et questions, réécriture, dictée et rédaction. Suite à la pause déjeuner, ils ont passé l'épreuve de mathématiques pendant 2 heures.

Vendredi 5 février, le lendemain, l'épreuve d'Histoire Géographie les attendait pendant 2 heures, suivie des sciences, pendant une heure. Après la pause déjeuner, ils se sont essayés à l'épreuve de basque niveau B2 pendant une heure et demie.

Le grand groupe des élèves de troisième a été réparti en 3 classes pendant les 2 jours. Aussi, les élèves de la classe ULIS ainsi que ceux qui bénéficient du tiers-temps étaient dans une classe à part.

Ils vont certainement apprécié les vacances qui arrivent !

Fin janvier, le nombre de cas positifs a augmenté dans l'établissement et donc le nombre de cas contacts aussi. C'est pourquoi, au vu de la situation sanitaire actuelle et par mesure de sécurité, les instances officielles, ont décidé que tous les élèves de 5ème et 4ème devaient rester chez eux en télétravail, du 29 janvier au 5 février.

les élèves de 6ème et 3ème ont continué à travailler au collège avec des emplois du temps aménagés.

Ils ont pu apprécier l'espace de vie lors des récréations.

Par niveaux, ils ont même pu rejouer aux jeux de société !

C'est le roman que les élèves de cinquième ont lu avec Armelle (professeur de basque). Jon Arretxe, écrivain biscayen, vit maintenant en Navarre. Le mardi 26 janvier, nos élèves ont suivi son discours avec attention. Il a raconté comment les voyages peuvent mener à devenir un écrivain, même s'il reconnaît qu'il n'était pas lui-même un grand lecteur quand il avait eu leur âge et qu'il ne s'imaginait pas devenir un jour un écrivain dont les livres sont traduits en plusieurs langues. Il leur a montré des photographies des lieux et des gens qui l'ont inspiré en écrivant ce roman de jeunesse. Enfin, même si ce n'était pas son idée d'écrire ce livre, c'est une demande de la maison d'édition, l'écriture s'est avérée assez facile et fluide.

Les élèves ont pu poser leurs questions et ces échanges post-lecture ont été très intéressants !

Voyons si, en ce début d'année, s'ils auront l'opportunité de lire le nouvel ouvrage littéraire pour enfants et adolescents "Trumoiaren alaba"..

Et évidemment.... Jon a pu faire des autographes sur les livres des élèves qui le désiraient !

Milesker Jon !

Lundi 25 janvier, au matin, Madame Gourmelon, responsable du réseau de transports Hegobus, est intervenue une heure au collège auprès des élèves de 6D - 6E en premier temps, et auprès des 6A - 6B ensuite. Rassemblés au CDI, elle leur a rappelé les objectifs de cette prévention : informer, donner l'alerte et faire réfléchir.

Tout d'abord, elle leur a souligné le nombre d'élèves que regroupe Hegobus, le nombre de services scolaires gérés et le nombre de véhicules en circulation par jour : autocars, autobus, mini-bus. Elle leur a donné différents noms de transporteurs scolaires : Le Basque Bondissant, Hegobus, Réunir, ATCRB, Transdev, Citram Pyrénées... Ensuite, elle a différencié l'autocar de l'autobus, en précisant qu'un car peut coûter entre 150 000€ et 200 000€.

dans un deuxième temps, elle leur a rappelé le comportement à avoir et les règles à respecter lors de l'attente du bus, à la montée et à l'intérieur du bus, et à l'arrivée du collège (comportement de l'élève, respect du matériel, port de la ceinture qui peut engendrer une amende de 135€....) et l'importance de al carte de bus. Ils ont par la suite participé à un quizz-bilan.

Dans une dernière partie, les élèves se sont réunis dans le CDI pour écouter les derniers conseils et remercier l'intervenante qui leur a offert une trousse Hegobus et un livret.

Merci à Hegobus pour toutes ces précisions !

A chaque élève maintenant, de continuer à prendre en compte tous les conseils, de se protéger, de respecter le bus et de saluer le chauffeur !

Du 12 au 22 janvier, comme chaque année, nous avons organisé la visite des élèves de CM2 des ikastolas primaires autour de Ciboure : Sait Jean de Luz, Ciboure, Urrugne, Hendaye, Sare, Ascain, Saint Pée sur Nivelle, Biarritz, Ascain et Bidart.

Tout d'abord, ils ont visionné un film de présentation du collège.

Ensuite, ils ont visité l'établissement avec Mr Iñaki Lekuona, directeur du collège, en passant par les laboratoires, le réfectoire, la salle de sport et les différents bureaux.

Enfin, après avoir consulté un petit livret qui leur a été remis, il a répondu aux différentes questions et inquiétudes.

Nous leur souhaitons de bien terminer cette année scolaire et de venir motivés à la rentrée prochaine !

Lundi 18 janvier, les élèves de 3ème ont fait un accueil spécial au dessinateur de BD Marko, qui est intervenu à 9h15 pour les élèves de 3A et à 10h06 pour ceux de 3B. 

Dans un premier temps, il s'est présenté comme illustrateur de BD qui vient de terminer un grand projet de 10 ans avec les commémorations du 11 novembre comme apothéose sur Paris.

Il leur a souligné que dans le métier d'illustrateur, il faut être le plus juste possible, qu'il faut avoir une observation fine de la période de la guerre, avec entre autres :

- les objets, les mentalités, les faits historiques

- qu'un dessinateur est à la fois styliste, architecte, coiffeur, paysagiste

- qu'il ne peut pas tout maîtriser, en particulier al période de la Grande Guerre

 - qu'il faut faire très attention à ce qu'ils dessinent, à ce qu'ils racontent

- qu'il a eu besoin de l'aide de spécialistes en régimentaire, pour les dessins de camions, d'avions, tableaux de chasse militaire

Marko a insisté qu'il faut se documenter, se sur-documenter pour son scénariste en travaillant avec différents corps de métiers : scénariste, coloriste, éditeur, dessinateur...

Dans une deuxième partie, il leur a parlé de Mr Alexis Godillot, qui était une personne qui s'occupait des fournitures militaires : chaussures, tentes.... le nom propre est devenu nom commun : la chaussure militaire Godillot. Par la suite, Marko leur a explique comment différencier les casques militaires appelés "bombes", les français ou allemands, ceux de la guerre de 14/18 ou 39/45. Il a réussi à en obtenir et les a montrés : ceux de 14/18 ont un cimier, une cerveillère, une visière, un fil de soudure alors que ceux de 39/45 ont le fil de soudure disparu. Il leur a aussi exposé un uniforme qui lui a été offert avec une lettre dedans et un numéro de régiment. Ce qui est très intéressant c'est de le toucher, entre autres la matière sur le dos, le tissu est irritant, lourd, en lin, c'est un style de vareuse que certains coupaient par rapport à la pluie, la boue, mais le fait de le toucher c'est plus compréhensible. Les différentes paramètres de fatigue, de peur, de poids dans cette période sont plus faciles à représenter selon la densité de la matière.

En ce temps-là, l'image était utilisée comme une arme ou la photo comme un outil de propagande. Chacun d'elles pouvait être censurée.

Tout au long de sa conférence, Marko a insisté sur l'importance de la documentation et en a cités : 

- les cartes de l'avant 1914 / 1918

- les journaux de tranchées décrits par les soldats eux-mêmes, le "canard enchaîné"...

- des films à voir comme "Le long dimanche des fiançailles", "La vie et rien d'autre", "Capitaine Conan", "Charlot Chaplin", vidéos de ECPA-d..

- des livres à lire comme "Mémoires d'un rat", "Les mots des tranchées", "Les carnets de guerre de Louis Barthas"

- une BD, qui est sortie en même temps que le dépôt de leur dossier : "Verdun".

Tout au long de la conférence, les élèves, très attentionnés, ont avalé les paroles de Marko, ont visionné toutes ses illustrations avec beaucoup d'engouement.

Ce fut un moment riche et très intéressant.

Un grand bravo à lui, nous remercions vivement MARKO !